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1. à élément fonctionnels différencié (suffixe, préfixe)
a) form syntethique
- suffixation
- préfixation
- form parasyntethique
b) form analytique (salle à manger, arc-en-ciel)
- form des N
- des adj
- des V
- des adv
- des préposit
- des conjonct
2. à élément fonct non-différencié
a) composition
- populaire (radical-nom)
- savante (élément grecque/latin)
b) avréviation
- ciglaison (forme des mots BD, SF). On adrège: sympatique - sympa, prof.
- troncation
c) dérivation regressive
Préfixe d'intensité: hyper, super, extra.
Les mots français peuvent se répartir en mots simples et mots construits. Les mots simples sont des mots qui ne sont pas décomposables (разложимый); les mots construits, par contre, peuvent être décomposés en éléments significatifs plus petits (mots ou morphèmes).
Exemple:
boisson, buvable, buvard, buvette, buveur, imbu, imbuvable, pourboire
Tous ces mots sont construits à partir du mot simple boire, ou bien par adjonction d’un autre mot – c.-à.-d.
• par composition:
pourboire < pour (préposition) + boire
– ou bien par adjonction d’un suffixe ou d’un préfixe à l’un des radicaux de ce verbe[4], c.-à-d. par dérivation.
• Sont construits par dérivation suffixale:
boisson < (je) bois + -son «(ce) qui subit l’action (exprimé par la base)».
«Liquide qui se boit.» Cf. cuisson, nourrisson.
buvable < (nous) buv-(ons) + -able «possibilité». «Qui peut se boire.» Cf. abordable, faisable.
buvard < buv- + -ard «appartenance, propriété». «Papier qui boit l’encre.» Cf. campagnard, vieillard, braillard.
buvette < buv- + -ette «qui a un rapport caractéristique à ce qu’exprime la base». «Petit local ou comptoir où l’on sert à boire.» Cf. allumette, sucette.
buveur <buv- + -eur «qui fait l’action (exprimé par la base)». «Personne qui boit.» Cf. chanteur, vainqueur.
• Sont construits par dérivation préfixale:
imbu < im- (in2-) «dans l’état (exprimé par la base)» + bu. «Imprégné, pénétré (de sentiments, d’idées, de préjugés…).» Cf. inflammable.
imbuvable < im- (in1-) «élément négatif» + buvable. «Qui n’est pas buvable.» Cf. imbattable, inabordable.
9. La suffixation. L’origine des suffixes français.
La dérivation suffixale crée des mots nouveaux en ajoutant aux radicaux de mots déjà existants des morphèmes spéciaux dits suffixes.
La dérivation suffixale est un procédé de formation bien vivant et productif dans le français contemporain.
Pourtant les suffixes moins productifs ne sont pas sans importance, eux non plus, dans le français d'aujourd'hui. C'est que ces suffixes, qui étaient jadis bien productifs, ont enrichi le vocabulaire d'un grand nombre de mots qui ont reçu un large emploi; certains de ces mots font partie du fonds usuel du vocabulaire. Entre autres, on peut signaler les dérivés avec les suffixes peu productifs aujourd'hui, néanmoins fort répandus. Parmi ces suffixes nommons -eur (grandeur), -esse (tendresse), -ise (franchise), etc. Les parties du discours sont à un point différent sujettes à la suffixation. Ce sont surtout les nominaux (substantifs, adjectifs, adverbes). Les verbes formés à l'aide de suffixes sont moins nombreux.
Дата добавления: 2015-01-29; просмотров: 191 | Поможем написать вашу работу | Нарушение авторских прав |
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